C’est fou comment l’histoire de Geneviève Jeanson, cette championne mondiale de cyclisme engluée dans le dopage et le mensonge, me fait penser à ces cas de soumises qui jouent les victimes. Où les accusations d’emprise et de manipulation fusent de toutes parts. Parce qu’il faut bien un coupable. Et une victime.
Dans la chronique de Foglia d’aujourd’hui portant sur cette affaire qui fait grand bruit de ce côté-ci de la grande mare, je relève cette phrase terrible : « Victime ne veut pas dire innocente. »
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