Il n’y a rien de commun entre le lavage de cerveau des camps soviétiques et l’échange de pouvoirs sain, sécuritaire et consenti (ou conscient des risques).
L’un mise sur le renforcement négatif et la confusion, et l’autre, sur le renforcement positif et la sexualité festive.
Une relation bdsm saine recense plusieurs facteurs : être soi-même, honnêteté, communication, respect, se sentir en sécurité, confiance, égalité, support.
Ce sont tous des mots plus faciles à épeler qu’à… faire? réaliser? accomplir?
mademoiselle tali écrit :
Je suis tout à fait d’accord Monsieur 🙂