Il faut voir la tête qu’elle fait lorsque tu lui tends le bel album de Milo Manara et Jean-Pierre Énard, L’Art de la fessée… afin de lui faire lire à voix haute…
Oh, le beau défi!
« Les fesses de Gina étaient deux mappemondes pleines et souples, des chairs superbes et tendres, des babas fermes et savoureux, des poires fondantes et mutines. Les fesses de Gina étaient des provocations à la fessade, aux pinçons, à l’étreinte. On aurait voulu les claquer, les lécher, les téter, les baiser, les mordre et les étriller. Les fesses de Gina étaient des désirs, des passades, des folies. Des rêves qu’on touchait, palpait, soupesait. Des fantasmes de fesses… »
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