« Un jour, nous avons eu une conversation. Après avoir découvert ce qu’était que m’abandonner, me rendre, je m’étais engagée à continuer dans cette voie. Cela nécessitai de rester passive, prête à me soumettre, d’accepter de le laisser me malmener, de lui permettre de prendre mon cul d’assaut. Cet après-midi là, il a dit qu’il adorait me foutre – moi et mon cul -, que tout était fantastique, et que même si on en restait là, il était toujours partant.
« Mais, a-t-il poursuivi, si j’apprenais à mieux sucer sa bite, ce serait un réel bonus. Ravalant ma fierté, j’ai répondu : « D’accord, apprends-moi. » Et il m’a appris. Très bien appris. Alors j’ai commencé à ajouter des raffinements de mon cru.
« Sucer une bite est une forme d’art.
« Il m’a donné quelques rudiments. Mouillez, mouillez, mouillez, plus c’est mouillé, meilleur c’est.
« Il est bon d’encercler, d’une poigne ferme, la base de la verge au-dessus des jumelles. Comme il est bon d’encercler la queue et les boules d’une seule main. Pour la bouche, ne pas mordiller, jamais. Une langue baveuse, bien appliquée, ou encore mieux, une langue dardée pour bien lécher.
« Puis nous en sommes venus aux variations de mouvement, de vitesse, de tension et de rythme. «Change de cap, m’a-t-il suggéré, la surprise est toujours agréable. Ne te contente pas de répéter la même caresse. Recommences-en une plusieurs fois et puis passe à autre chose. »
« Exemple : enserrer la base du pénis dans l’anneau formé par le pouce et le médius, lèvres molles autour de sa queue sur toute la longueur, trouver un rythme fluide, observer son visage, le voir devenir plus intense, alors se retirer et lui laper l’arrière de la verge, lécher aussi ses couilles, et puis les gober une à une dans sa bouche, les mouiller, bien les mouiller et, la bouche pleine des deux, les faire rouler sur sa langue comme des amandes, avant de se remettre à sucer la colonne et de se l’enfoncer palpitante tout au fond de la gorge.
Et d’autres variations sur ce thème.
« Aller profond est agréable. Hoqueter l’est aussi. Si on ne hoquette pas pour son homme, comment peut-on l’aimer vraiment? Des liqueurs plus gluantes que la salive vous remontent dans la gorge pour enduire sa queue. C’est l’orgasme de la gorge.
« Mes fellations ont connu également une autre amélioration marquée dans le champ visuel, après avoir sucé sa bite devant plusieurs miroirs différents. En expérimentant divers angles, j’ai appris le sens de la mise en scène, le dessin du mouvement, la clarté de l’intention.
« Apprendre à lui sucer la bite faisait appel à la concentration. C’est un acte en soi, le seul, l’unique, ce n’est pas un prélude, c’est l’attraction principale du moment.
« J’ai suivi ces quelques conseils pratiques et me suis entraînée sans relâche. Il n’y a que l’exercice, comme pour la danse classique, rien d’autre que l’exercice. Plus je m’exerçais, plus je découvrais de choses, plus j’adorais sa queue, plus je m’aimais moi, plus je l’aimais lui, plus j’aimais sucer sa queue, plus il était heureux.
« Maintenant il est si heureux que ses yeux échappent aux miens pour chavirer, et sa respiration s’altère, et ses joues s’enflamment, et je m’emplis de joie comme un réservoir vidé à une station-service. »
Soumise Cassandre écrit :
J’ai adoré lire ce passage… Oui, sucer est aussi un Art qui s’apprend, s’améliore et se réalise… J’aime cet exercice qu’est la Fellation… Encore faut-il qu’il soit partagé… Sourire… Merci pour cette belle leçon, et, suçons mes sœurs…:-) afin d’éclairer Son visage !
mademoiselle tali écrit :
pratique, pratique, pratique, d’accord. 🙂