La soubrette de Monsieur et de Madame

La soubrette est au service de Monsieur et de Madame.

Outre les travaux ménagers, elle peut se voir suggérer d’effectuer d’autres tâches au gré des fantaisies de Monsieur et Madame.

La soubrette est attentive aux besoins et demandes des personnes qu’elle sert. Son obéissance et son sens de l’efficacité feront d’elle une bonne soubrette.

Bien entendu, la soubrette vouvoie les personnes qu’elle sert et s’adressent à eux en disant : Monsieur ou Madame. Et elle revêt l’uniforme qui lui est imposée.

L’entraînement de la soubrette

Voilà les deux ensembles de points précis que je considère important de travailler durant l’entraînement de la soubrette.

L’acceptation

1. Acceptation de soi
2. Acceptation de son rôle
3. Confiance en ses moyens
4. Comprendre les besoins et les demandes exprimées
5. Écouter
6. Capacité de dire
7. Capacité à prendre des décisions et faire preuve d’initiative

Le contrôle

1. Obéissance
2. Honnêteté
3. Servitude
4. Discipline
5. Auto-discipline
6. Humilité
7. Décorum

Dès son arrivée chez Monsieur et Madame aux heures convenues par eux, la soubrette se prépare pour accomplir les tâches ménagères exigées. Elle veille à servir toute demande de Monsieur et de Madame, voire à les devancer.

La soubrette ne s’adresse à Monsieur et Madame que si elle y a été invitée ou pour des questions concernant ses travaux domestiques.

La soubrette ne demande aucune récompense pour ses services, que ce soit des faveurs sexuelles, une séance bdsm ou quoi que ce soit d’autre. Elle est là pour se rendre utile et agréable. Elle ne doit en aucun cas devenir une gêne ou une charge pour les personnes qu’elle sert.

Bien entendu, en cas de tout manquement de la soubrette en quelque manière, elle risque d’être congédiée sur le champ et renvoyée chez elle.

Récompenser la soubrette

La réception, par la soubrette, d’une gratification d’ordre sexuel, est l’expression de la satisfaction de ses services par Madame et Monsieur, ensemble ou séparément.

Bien entendu, une récompense se mérite. C’est ce qui rend à l’exercice un brin de survoltage.