le récit CARTE BLANCHE
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Pendant que je me dirige vers la cuisine pour aller chercher les desserts, une touche sur mon cellulaire me met en contact direct avec l’instigateur de cette soirée.
– « Bonsoir Monsieur! »
Je souhaite me faire entendre de la femelle que j’ai laissée là-bas, seule, abandonnée, en proie aux tourments les plus vifs.
– « Très bien, merci. Ah Monsieur, votre femme est une modèle de docilité. Si, si. Je vous l’avais bien dit. »
Nous rions tous les deux.
– « Oui, nous entrons de plein-pied dans la phase deux… oui, au cours des prochaines minutes. »
Je l’observe au loin qui tangue sur sa chaise.
– « Je vous la passe, oui. Tel qu’entendu. Je vais brancher le casque d’écoute afin d’avoir les mains libres pour… Très bien. À demain, Monsieur. »
Je dépose le plateau sur la table et pose un casque d’écoute très léger sur la tête de la menottée.
– « Un homme que vous ne connaissez pas souhaite vous parler, soumise. »
J’entends les propos de son interlocuteur distinctement. Son mari et moi avons scénarisé ce moment avec beaucoup de plaisir.
– « Tout se passe bien, soumise? »
– « Oui Monsieur. »
– « La soumise apprécie sa soirée? »
– « Oui Monsieur. »
– « Elle est bien traitée jusqu’à maintenant? »
– « Oui Monsieur. »
– « Oui Monsieur, oui Monsieur, oui Monsieur… pardi, est-ce que je parle à ma femme?…
Je l’entends rire.
– « la femelle apprécie vraiment le scénario longuement préparé à son intention. »
– (Avec un sourire dans la voix) « Oui, Monsieur. »
– « Cela fait plaisir à entendre. Le repas fut bon? »
– « Excellent, Monsieur. »
– « Et le dessert?… »
– « Je… je crois que nous y arrivons. »
– « D’accord. Au fait, dans quelle posture se trouve donc ma femme à l’heure actuelle? »
Je sens sa poitrine gonfler. Sa blondeur fait ressortir encore davantage son embarras.
– « Monsieur, je… »
– « Oui, j’écoute… »
Je lui fais mettre ses mains derrière la tête sans gêner la communication et me place à califourchon au-dessus d’elle. Avec mes pouces, j’effleure ses mamelons qui durcissent rapidement sous le tissu.
– « Je crois que l’on vous a posé une question, soumise », que je lui chuchote, en la prenant par le menton.
– « Maitr… Monsieur, je… »
Je goûte cette confusion avec un plaisir indicible. Je présume que c’est ce que l’on pourrait appeler la dominasphère. Pour augmenter la dose, avec mes doigts, je la pince tout doucement d’abord, puis avec une pression plus soutenue. Elle échappe un gémissement.
– « Répondez à la question qui vous a été posée, femelle. Et soyez précise. »
Je la sens confuse et honteuse. Nous arrivons ici à un carrefour-clef de ce scénario.
– « Je suis actuellement assise, Monsieur. »
– « C’est un début. »
Lui et moi éclatons de rire.
– « Est-ce que mon épouse est nue? »
– « Non, Monsieur. Votre épouse porte encore sa robe ses bas et son porte-jarretelles, mais… (incertaine) elle n’a plus de… elle n’a plus de soutien-gorge, ni de culotte. »
– « Mais qu’a-t-elle fait avec son soutien-gorge et sa culotte, ma chère et tendre épouse? »
Au même moment, je lui ouvre les jambes et insère deux doigts en elle. Avec mon autre main, j’exerce une pression sur l’un de ses mamelons, ce qui fait retentir un cri dans l’enceinte vide du restaurant.
Les oreilles du mari ne font qu’un tour.
– « Bon, puisque mon épouse est si loquace, sait-elle ce qui me ferait plaisir? »
Il marque une pause pour instiller un maximum d’effet.
– « Il me plairait qu’elle demande la fessée à son hôte… »
– « … »
– « La soumise a très bien compris. »
– « … »
– « Je compte sur elle afin que cette demande soit faite dans les règles de l’art. Pas dans deux heures, pas demain, maintenant. »
– « Bien.. oui Monsieur. Je… Ce sera fait comme vous l’entendez. »
Je la sens qui prend son courage à deux mains, même si elle est… menottée. Elle réalise que son mari lui demande de se livrer à moi devant lui. Enfin, devant lui… il entendra tout au bout du fil. Il imaginera… Et après chaque élan, elle devra compter à voix haute et dire : « Merci Monsieur. » Afin de lui faciliter la chose, je lui fais boire une gorgée.
– « Merci Monsieur. Monsieur, est-ce que la soumise actuellement à vos pieds est digne de sentir vos belles mains lui chauffer les fesses? »
– « Quelle charmante demande que voilà. C’est avec un plaisir non dissimulé que je vais vous donner la fessée, soumise. Mais auparavant… »
Je retire son casque, la fais lever de sa chaise, puis, je défais sa robe qui glisse sur son corps.
– « Penchez-vous. »
Son corps plié par-dessus sur la table offre une image de l’obéissance incarnée. Je lui fais remarquer. Elle prend la teinte de la pivoine. Il est amusant au cube, ce scénario.
– « Écartez-moi ces jambes, soumise, que je puisse observer ce cul offert si gentiment. Voiiiiilà. Vous êtes prête à compter? »
Louis écrit :
Je ne suis pas un fan de téléphone, il m’est donc difficile d’apprécier cette scène.