Non, le BDSM n’est pas une fin en soi.
Il faut être capable d’en sortir de l’échange de pouvoirs. De faire autre chose. Du moins dans un cadre relationnel.
C’est d’ailleurs la condition principale établie par le Manuel Diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM IV) de l’American Psychiatric Association sur le caractère sain des pratiques bdsm.
Ne pas pouvoir sortir du cadre BDSM, être incapable d’établir la relation d’intimité sur d’autres bases que l’échange de pouvoirs et tout le bataclan, il y a peut-être un problème, Houston.
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