Ah oui !….. Vaste question qui est plus existentielle que psychanalytique et dont vous trouverez la réponse ici.
Un jour, peut-être, j’expliquerai clairement pourquoi (bien que tous les éléments ont été abordés dans mes notes) je ne suis PAS soumise, tout au moins dans l’acception du terme dans nos contrées si particulières.
Ah non! La question de la psy à la belle Adèle ne se situe pas dans le qui. Rien d’ailleurs dans mon billet ne l’y situe. Rien à voir avec l’existentiel, ni avec la part psychanalytique, mais tout à voir avec le comment, le faire, y compris avec le xocola-tl.
Il m’arrive en vous lisant, mlle, de ressentir ce moment où le cinéaste (Leconte) a réussi à capter la grâce du silence plein, empli de stürm und drang. Moment que je compare volontiers à cet instant où Ardisson interroge la veuve de Claude François. Ou encore à tous ces petits riens qui me venaient de Vladimir et Estragon attendant Godot sur la scène du TNM (sublimes Rémi Girard et Normand Chouinard!), il y a de cela plusieurs lunes, mais c’est comme si c’était hier.
Il ne se passe rien! siffleront certaines langues.
Fichtre! Pour pasticher la Gavalda, rien, c’est tout.
La Wonderland girl s’insurge : quoi? une soumise, moi? Allons, Monsieur, ne suis-je pas assez claire? Eh bien, non, il ne semble pas. Ou plutôt si :- )
Inclassable? Oui oui, elles disent toutes ça.
Non mais, le mot ‘soumise’ vous rebute-t-il à ce point, chère? Le mot ‘soumise’ connote-t-il à ce point toute cette part d’attente et de passivité et d’abnégation et d’odeur de Spic & Span qu’on accolle volontiers à ce mot honni et que nombre de personnes pratiquent allègrement (j’ai soudainement une pensée pour une soumise novice, sans oublier … et … et…), attendant on ne sait quel signal, un ordre, ou que sais-je, une claque franche sur les fesses avec un de ses tétons entre les doigts?
alicine écrit :
Ah oui !….. Vaste question qui est plus existentielle que psychanalytique et dont vous trouverez la réponse ici.
Un jour, peut-être, j’expliquerai clairement pourquoi (bien que tous les éléments ont été abordés dans mes notes) je ne suis PAS soumise, tout au moins dans l’acception du terme dans nos contrées si particulières.
Valmont écrit :
Ah non! La question de la psy à la belle Adèle ne se situe pas dans le qui. Rien d’ailleurs dans mon billet ne l’y situe. Rien à voir avec l’existentiel, ni avec la part psychanalytique, mais tout à voir avec le comment, le faire, y compris avec le xocola-tl.
Il m’arrive en vous lisant, mlle, de ressentir ce moment où le cinéaste (Leconte) a réussi à capter la grâce du silence plein, empli de stürm und drang. Moment que je compare volontiers à cet instant où Ardisson interroge la veuve de Claude François. Ou encore à tous ces petits riens qui me venaient de Vladimir et Estragon attendant Godot sur la scène du TNM (sublimes Rémi Girard et Normand Chouinard!), il y a de cela plusieurs lunes, mais c’est comme si c’était hier.
Il ne se passe rien! siffleront certaines langues.
Fichtre! Pour pasticher la Gavalda, rien, c’est tout.
La Wonderland girl s’insurge : quoi? une soumise, moi? Allons, Monsieur, ne suis-je pas assez claire? Eh bien, non, il ne semble pas. Ou plutôt si :- )
Inclassable? Oui oui, elles disent toutes ça.
Non mais, le mot ‘soumise’ vous rebute-t-il à ce point, chère? Le mot ‘soumise’ connote-t-il à ce point toute cette part d’attente et de passivité et d’abnégation et d’odeur de Spic & Span qu’on accolle volontiers à ce mot honni et que nombre de personnes pratiquent allègrement (j’ai soudainement une pensée pour une soumise novice, sans oublier … et … et…), attendant on ne sait quel signal, un ordre, ou que sais-je, une claque franche sur les fesses avec un de ses tétons entre les doigts?
alicine écrit :
Le QUE se situe obligatoirement dans le QUI (pour toute personne normalement constituée) donc le QUE est un raccourci que je ne laisse pas emprunter 🙂
NB : Le QUI donnant les réponses sur le QUE, la position autant sur le mot que l’attitude “soumise” y trouvera sa révélation.