« Sentir qu’il existe et surtout qu’il est fondé à réclamer sa part de soupirs, sa part de plaisir, ce corps dont je n’ai pourtant pas à rougir mais que j’aimerais parfois oublier.
« Quel somptueux paradoxe que de le punir pour le laisser vivre enfin… »
Gabrielle uniquement
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