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Les pratiques BDSM

Par Monsieur Valmont | 61 423 lectures | Temps de lecture ~ 14 minutes

Le consentement
« Le consentement. » Photo : lespelleteursdenuage.

Les pratiques BDSM forment un immense fourre-tout de jeux, d’activités et de pratiques intimes, sexuelles et sociales associées à l’échange érotique de pouvoir entre adultes majeurs et consentants.

Quels sont les principes qui sous-tendent les pratiques BDSM? Quels sont les défis auxquels on fait face quand notre curiosité nous pousse vers l’un ou l’autre de ces jeux? quand on intègre une telle activité à notre vie intime et sexuelle?

Voilà quelques-unes des questions auxquelles cet article tente de répondre.

Dernière mise à jour de cet article : 25 août 2021.

Table des matières de cet article

  • Des pratiques qui font peur
  • Le consentement, c’est la base
  • BD + DS + SM
    • Bondage (Ligotage) & Discipline
    • Domination & Soumission
    • Sadisme & Masochisme
  • Le pouvoir interpelle notre eros
    • Jouer avec le pouvoir
  • Bienvenue chez les Ch’tis paradoxes
  • Les 7 étapes dans le développement d’un échange de pouvoir érotique
    • Désir ou besoin?
  • Les défis des pratiques BDSM
    • L’expérience directe de l’échange de pouvoir
    • Un environnement sain
    • La confiance
    • La sécurité
    • Nos besoins, nos envies, nos fantasmes
    • Comment protéger notre personne (identité, sécurité)
    • La recherche de partenaire
    • « Nous, on fait du BDSM »
  • Les 100 000 façons de vivre l’échange de pouvoir érotique
    • Un bon inventaire des jeux érotiques
  • Et vous, qu’est-ce que vous voulez?
  • Sur le même sujet
      • La gestion des risques
      • La relation BDSM 24/7 : une dose de réalité

Des pratiques qui font peur

Vues de loin, les pratiques BDSM font peur et fascinent à la fois. Et pour cause.

On parle ici d’un échange de pouvoir dans la sphère érotique entre une personne qui domine et une personne qui se soumet, à divers degrés, dans un contexte préalablement fixé et une durée déterminée. Le miracle survient lorsqu’une certaine dose de confiance, le respect de l’autre et une préoccupation réelle pour sa sécurité, sont au rendez-vous.

Voilà en gros les principes généraux sur lesquels reposent les pratiques BDSM. J’y reviens plus loin dans cet article.

Le consentement, c’est la base

Un échange érotique de pouvoir exige une négociation avant de jouer et un accord commun entre les personnes impliquées. Avant de jouer, chacun.e doit savoir à quoi il-elle consent et ne consent pas, et ce à quoi l’autre consent et ne consent pas.

Si une relation de pouvoir érotique ne répond pas à l’un ou l’autre de ces principes, nous ne sommes pas en face d’une relation BDSM. Nous avons plus de chance de nous retrouver en face d’une relation d’abus de confiance, voire de viol, voie de fait, etc.

LIRE : Le consentement et les pratiques BDSM

L’acronyme BDSM cache trois acronymes (BD + DS + SM) qui recouvrent des pratiques assez dissemblables dans leur objet, bien qu’elles reposent toutes sur le principe du consentement.

BD + DS + SM

L’acronyme BDSM, apparu en 1991 dans un forum Usenet, englobe trois autres acronymes distincts : BD, DS et SM.

Ces trois acronymes représentent ce qu’on pourrait appeler les grands ensembles d’activités liées aux échanges érotiques de pouvoir. Ces grands ensembles recouvrent des pratiques souvent assez dissemblables dans leur objet, bien que reliées autour du principe du consentement.

Voyons chacun de ces ensembles d’activités à vol d’oiseau.

Bondage (Ligotage) & Discipline

Bondage (Ligotage) & Discipline, ce sont les jeux de restriction et de contrainte des mouvements d’une personne et son immobilisation. Comment? À l’aide de cordes, chaînes, menottes, pellicules moulantes, vêtements, accessoires et meubles créés à cet effet, jeux médicaux…

Les humains ont beaucoup d’imagination… 😀

Domination & Soumission

Domination & Soumission ou l’art d’obéir, de servir et de plaire.

Dans cette catégorie d’activités où se côtoient jeux de rôles sans conséquences et modes de vie plus structurés, on peut énumérer de nombreux talents pour le service en général, et le service sexuel en particulier.

C’est ce qui englobe toute la dimension des soins (shampouineuse, cuisinière, soubrette, geisha, serveuse sexy, chauffeure, majordome), les relations identitaires (mommy, daddy), les personnifications d’animaux (chat, chien, cochon, cheval), tout ce qui relève d’un rapport de pouvoir (prof-élève, docteur-patient), etc.

Le pouvoir est aphrodisiaque.

Sadisme & Masochisme

Sadisme & Masochisme rassemble les jeux où la douleur induite devient une source intense de plaisir, car elle engendre des montées puissantes d’endorphines, ces substances que sécrète le cerveau dans certaines situations hormonales.

Ces jeux, probablement les plus controversés dans la grande marmite BDSM, sont possiblement ceux qui nourrissent le plus l’imaginaire collectif, attirant à la fois la curiosité la plus vive et les réactions les plus épidermiques.

Le pouvoir interpelle notre eros

On n’a pas encore parlé du plaisir…

L’échange de pouvoir érotique, c’est d’abord un jeu.

Ce jeu fait de jeux de contraintes réelles, de tension palpable, d’énergie cinétique, de confiance extrême, d’animalité assumée, de jeux de pouvoir qui activent des leviers en nous… ce jeu, dis-je, a la faculté d’interpeller notre eros comme nulle autre activité humaine.

C’est donc un jeu sérieux.

Jouer avec le pouvoir

Jouer avec le pouvoir est grisant.

Que veulent donc les gens? Du pouvoir. Toujours plus de pouvoir. On n’en a jamais assez de pouvoir, bien que l’on soit sans cesse disposé à en échanger une parcelle, ou une plus grosse part, selon les conditions offertes. Allez donc savoir pourquoi.

Naaaaah, il y a aussi des tas de gens qui n’en veulent pas du pouvoir. Veulent pas se casser la tête. Préfèrent obéir, suivre, recevoir, exécuter… allez donc savoir exactement pourquoi…

Gérer le pouvoir érotique est moins simple que ça en a l’air.

Bienvenue chez les Ch’tis paradoxes

Les jeux de pouvoir érotiques touchent à plusieurs paradoxes chez l’être humain… et non des moindres :

  • le désir d’exercer du pouvoir sur une autre personne ou de le céder
  • la violence de nos sentiments
  • la noirceur de nos fantasmes
  • nos sources inavouables de plaisir
  • nos valeurs versus nos pratiques
  • la pression de la représentation sociale
  • le besoin de se cacher pour vivre ce que nous sommes… bien que joindre un groupe de semblables permet de ne plus se cacher, sinon derrière un pseudonyme
  • l’incapacité de dire afin de ne pas briser ce qui est attendu de chaque rôle
  • le besoin de sécurité cohabitant avec les prises de risque les plus casse-cou
  • l’appétit infini pour le carnavalesque et la débauche, cette « idée » qui fascine autant qu’elle répugne

Les 7 étapes dans le développement d’un échange de pouvoir érotique

Entre la pensée et l’acte, la personne attirée par les jeux érotiques de pouvoir traverserait sept étapes.

Certaines personnes franchissent ces étapes plus vite que d’autres, en fonction des circonstances et de leurs capacités. D’autres ne les franchissent pas et referment la porte sur ces pensées… pour revenir peut-être dix ans plus tard… ou non.

LIRE : Les 7 étapes dans le développement d’un échange de pouvoir érotique

Désir ou besoin?

Vous lancer dans des activités BDSM, c’est un désir? un besoin? une envie? un ordre? Il est bon de faire la distinction avant de prendre la route.

LIRE : Les désirs et besoins de la soumise. Ce texte est bon à lire tant des personnes attirées par la soumission que les personnes attirées par la domination.

pouliche au pied (source inconnue)
Pouliche au pied (source inconnue).

Les défis des pratiques BDSM

Les pratiques BDSM font intervenir plusieurs défis liés à notre rapport à nous-même et à notre rapport aux autres.

Ces défis touchent à notre identité, nos motivations, nos pensées, nos envies, nos limites, celles des autres, notre confiance, notre sécurité et celle des nôtres.

L’expérience directe de l’échange de pouvoir

Les activités BDSM pratiquées à une certaine intensité peuvent faire intervenir des sensations et des émotions assez puissantes.

Peur, dégoût, sentiment d’humiliation, ridicule, colère sublimée, tensions érotiques inhabituelles, angoisses, rages détournées. Ces émotions ne surviennent pas nécessairement parce que les choses ont tourné mal…

C’est tout simplement qu’avec toute l’intensité ressentie et la somme d’énergie reçue et donnée durant l’interaction de pouvoir, ça peut brasser…

La gestion de cette intensité n’est pas à la portée de n’importe qui, n’importe quand, n’importe comment.

« L’expérience directe de la domination et de la soumission nous fait toucher du doigt des techniques puissantes. Si elles ne sont pas utilisées lentement (le temps d’intégration psychique est fondamental) et distanciées À CHAQUE FOIS par une réflexion qui suivra immédiatement les sensations et les émotions étranges de la mise en scène SM, ces techniques peuvent amener les personnes soumises à une ruine psychique sévère (mais momentanée), un dégoût et un rejet fort préjudiciables. »

« Cette expérience directe, c’est l’acceptation de se mettre en DANGER réel de déstructuration. »

Abraracourcix en verve

Un environnement sain

Du point de vue de la médecine, qui a longtemps assimilé ces pratiques comme des déviances pathologiques et des maladies mentales, les pratiques BDSM sont maintenant considérées comme saines, moyennant trois conditions très simples.

  1. Vous êtes en mesure de bander sans avoir besoin d’un fouet (ou tout autre accessoire).
  2. L’activité en cours est consentie de façon éclairée de part et d’autre (saoûler/geler l’autre avant de jouer n’est pas une garantie de consentement éclairé).
  3. Vous êtes capable de fonctionner socialement dans les sphères professionnelle, familiale et amicale.

LIRE : Les pratiques BDSM sont-elles saines?

La confiance

Qu’est-ce que la confiance? C’est l’intention d’accepter de se rendre vulnérable sur la base de croyances optimistes sur les intentions (ou le comportement) d’autrui.

Pendant que des gens font du parachute, d’autres vivent la soumission érotique. Dans chaque cas, une personne offre sa confiance à une autre personne, en échange de sa sécurité (entre autres).

LIRE : La confiance (dans le contexte des pratiques BDSM)

La sécurité

La pratique du BDSM requiert une gestion responsable des risques qui s’y rattachent. Parce que… oui, il y a des risques. Il y a toujours un risque quand on fait une pratique BDSM. Si on n’est pas en mesure d’assumer les risques inhérents à l’activité pratiquée, on ne fait pas de BDSM.

Cela dit, la sécurité des participants est l’un des fondements de l’échange de pouvoir érotique.

Parlant de sécurité et de gestion des risques dans la pratique d’activités BDSM…

L’incapacité d’une personne à offrir un consentement éclairé alors qu’elle souhaite dominer la scène est un drapeau rouge vif pour toute personne soumise… à moins d’aimer jouer avec le danger… et la perspective de poursuivre l’aventure à l’hôpital, voire la morgue…

L’incapacité d’une personne se disant soumise à formuler un consentement clair ou à exprimer un inconfort durant la scène, est un drapeau rouge vif pour toute personne dominante… à moins d’aimer jouer avec le danger… et la perspective d’accusations publiques d’abus…

LIRE : La gestion des risques

Les activités BDSM pratiquées à une certaine intensité font intervenir des sensations et des émotions puissantes.

Nos besoins, nos envies, nos fantasmes

Comment répondre à nos besoins? à certaines de nos envies? aux fantasmes qui nous hantent?

« Si les jeux dits sado-masochistes attirent, il faut aller les découvrir pour mieux les maîtriser. Sans jamais les imposer, mais en les distillant progressivement. »

LIRE : Comment gérer ses fantasmes?

Comment protéger notre personne (identité, sécurité)

Un moyen d’avancer dans la découverte de nos fantasmes, passe souvent par l’usage d’un pseudonyme, qui nous permet de voir sans être vu(e).

Or, qui êtes-vous dans le cyberespace? Êtes-vous la même personne que vous êtes en personne ou quelqu’un de légèrement différent? Il vous est déjà arrivé d’y emprunter une identité différente? Si oui, l’usage d’un pseudonyme a-t-il favorisé l’exploration d’aspects de votre sexualité que vous ne connaissiez pas avant?

LIRE : L’usage du pseudonyme dans l’exploration de notre sexualité

La recherche de partenaire

Les principes de la relation de pouvoir sont simples. Leur application l’est moins.

Car il n’est pas simple de trouver le Dom parfait, ni la soumise parfaite. Ni la scène BDSM parfaite. Ni la relation BDSM parfaite…

C’est comme le reste : il n’y a pas de recette-miracle.

Il fait bon de prendre notre temps, préciser dans notre tête ce que l’on souhaite faire et ne pas faire, nous renseigner, demeurer curieux et bienveillant, trouver des gens sur la même longueur d’ondes pour discuter de pensées difficiles à exprimer; oser poser des questions, même les plus ingénues; aller au delà des évidences, éviter de juger (trop vite) ce qui se dit ou fait autour de nous, tenter de comprendre, ne rien tenir pour acquis, ne pas craindre d’avouer notre ignorance…

Que d’embûches, mais… que de saveurs!

« Nous, on fait du BDSM »

Consentement, prise 2.

On entend parfois des gens dire : « nous, on fait du BDSM. »

Il est toujours bon de préciser avec ces gens ce qu’ils entendent par ce « nous, on fait du BDSM ». Quelles sont les activités auxquelles ils font référence? Ce sont des choses que ces gens font ou qu’ils aimeraient faire? Savent-ils ce qu’ils font?

Beaucoup de gens utilisent les termes SM ou sado-masochisme pour désigner le BDSM et vice-versa. Mais on le voit bien. Simplement en décomposant l’acronyme, le BDSM c’est plus que le SM qui ne renvoie qu’aux seuls jeux de douleur/plaisir.

Les gens qui disent pratiquer le BDSM ne s’adonnent pas à toutes les activités considérées comme étant des pratiques BDSM. Soient qu’ils ne se sentent pas à l’aise avec une activité. Ou bedon c’est parce qu’elle ne les allume pas. Ou bedon tout simplement parce qu’ils n’ont pas encore eu le temps de la découvrir!

Encore une fois, la meilleure façon de savoir ce que l’autre entend par telle pratique, c’est de lui demander.

Les 100 000 façons de vivre l’échange de pouvoir érotique

A Map of the Lands of Human Sexuality, une cartographie de la sexualité humaine
Une mappemonde de la sexualité humaine
(A Map of the Lands of Human Sexuality), par Franklin Veaux.

La sexualité humaine est un vaste continent. C’est la zoomanité.

Dans ce vaste et étrange territoire, on croise les activités sexuelles les plus diverses, des plus répandues aux plus tordues, carrément dégoûtantes, rocambolesques, ou plus prosaïquement olympiques.

Les activités généralement associées au BDSM sont innombrables. Il y en a pour absolument pour tous les goûts et tous les styles.

Bref, il existe un nombre infini de façons de vivre le BDSM.

C’est un formidable puits sans fond de goûts, envies, fantasmes, « styles », attitudes, orientations, accessoires et jouets, à temps partiel ou à temps plein, freelance, en solitaire, en couple, hors du couple, en groupe, entre amis.es, avec des personnes inconnues…

Quand on entre en contact avec d’autres personnes attirées par les jeux érotiques de pouvoir, on constate qu’il existe bien des églises et des mouvements, des façons de faire et des limites fort différentes chez les un(e)s et les autres.

On y croise beaucoup de « touristes », des orthodoxes de la vieille garde et des fleur bleu à la Danielle Steele, une rose entre les dents et les fesses légèrement rosies…

Un bon inventaire des jeux érotiques

Le Questionnaire BDSM : désirs et limites constitue un bon inventaire des « jeux » érotiques qui suscitent l’intérêt de chacun des partenaires attirées par les pratiques BDSM.

Cette liste de pratiques dites BDSM, on la remplit ensemble et séparément, on pose des questions, on suit des pistes, on se renseigne, on prend le temps d’en discuter en large et en long, on identifie des limites, ce qui appartient au domaine du possible, on se découvre de nouvelles curiosités, puis… on la jette! 🙂

Ensuite, place à l’écoute… et à la capacité de dire. (Le plus difficile.)

Je dis : on la jette. C’est un peu court. Conserver nos différentes versions du Questionnaire BDSM : désirs et limites devient très intéressant à examiner au fil du temps, des variations et des évolutions. Parce qu’au fil du temps, les réponses changent.

Ce document est connu aussi sous le nom de « checklist BDSM ».

Et vous, qu’est-ce que vous voulez?

Que voulez-vous exactement? Telle est LA question.

La domination érotique vous allume? Vous vous sentez plus à votre place dans la soumission érotique?

Il n’y a pas de mauvaise réponse à cette question.

Se faire passer les menottes un samedi soir par sa compagne, « juste pour voir le feeling », n’implique pas le même degré de discussions que des jeux impliquant l’usage d’un couteau avec de parfaits inconnus.

Pourtant, les principes à la base ici sont les mêmes.

Sur le même sujet

Vous pouvez consulter la catégorie BDSM – fondamentaux. Elle comporte une vingtaine de textes courts ou plus longs. Ou encore explorer les articles ci-dessous, pris au hasard.

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Au premier cours de tango, on apprend des choses similaires à la soumission érotique…

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À propos de Monsieur Valmont

Gentilhomme avec un côté « bum », amateur de typo et du jeu de go, je suis du genre à chauffer les fesses d'une belle pouliche, accompagné par du Rage Against The Machine... Ou du Chopin.

Sujet(s) de cet article : article populaire, BDSM : fondamentaux Publié le 24 septembre 2006 dans le blogue cercle O - cercleo.net

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