J’aime les contrastes.
Au départ, j’étais parti avec l’idée qu’à notre arrivée à la chambre, je lui arracherais tous ses vêtements sur le dos. Son corps servirait de table pour y accueillir les aliments qu’elle avait amenés à notre intention.
Mais bon, être le Maître ayant ses avantages… j’ai changé d’idée en vue de rendre mon amusement encore plus grand… :- )
Non mais, imaginez la scène : vous avez les yeux ouverts et pouvez voir tout ce qui se passe dans la pièce.
Ses yeux à elle sont fermés, à ma demande.
Cette troisième rencontre avec cette candidate est à l’image des deux premières : elle ne peut rien voir mais elle peut tout entendre.
Je dis : tout entendre… Cette privation de la vue amplifie forcément l’acuité de ses autres sens.
Quand j’enfonce mes doigts dans sa bouche, par exemple.
Ou quand je la saisis par les cheveux et lui chuchote à l’oreille : « Monsieur a bien envie d’explorer plus profondément la libido de cette obéissante », son corps se roidit, sa peau frissonne, j’observe à loisir les innombrables réactions de son corps.
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Vos yeux la dévorent, elle qui est toute habillée. Alors qu’elle, privée de la vue, ne peut goûter votre nudité entretemps devenue totale.
Vous ai-je dit que j’aimais les contrastes?
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Plus tard dans la soirée, je la revois très distinctement sur le dos au pied du lit, nue, les poignets et les chevilles reliés par des chainettes à un anneau.
Oh, pour s’offrir, elle s’offre cette candidate. Et bien.
De temps à autre, je me penche au-dessus d’elle. Je la tourmente avec ma salive que je le laisse couler sur la peau de son sexe qui dégouline. Elle gémit, elle gigote. Je la maintiens par les genoux alors qu’elle oppose une certaine résistance. J’en remets une nouvelle couche, avant de la laisser dans cet état de fébrilité avancé.
J’aurais bien aimé vous offrir ce spectacle coquin. Mais vous sembliez si bien dans votre posture tout aussi différente que délectable.
Quelle posture?
Celle-là même que l’on peut voir sur cette belle image que mlle avait appréciée dans Fetlife il y a quelques jours. Vous êtes agenouillée, complètement penchée vers l’avant, vos fesses sont relevées et ouvertes, de sorte que vos cuisses forment un triangle parfait avec le sol, vos mains ligotées étant ramenées vers l’arrière.
Bref, c’est ce que l’on appelle une femme vulnérable, ouverte, à ma disposition.
Oh, pour vous offrir, vous vous offrez. Et bien.
Je les tourmente à tour de rôle les deux tourterelles avec mes propositions salaces, avec ma bouche qui émet un léger sifflement lorsque ma salive en sort d’un jet véloce. Mes doigts deviennent de plus en plus odorants et luisants à force de fouiller votre volcan de chair et de fluides, même si j’arrête avant l’éruption…
Ce va-et-vient enflamme encore davantage les sens de votre compagne de fortune que je me garde bien de toucher.
Mais bon, c’est bien beau ces parfums de chiennes et ces gémissements qui emplissent tout l’air de la pièce, j’ai soif, mouah!
Je vous détache toutes les deux.
La candidate est maintenant sur le ventre, ce qui me permet de constater que sa chair est marquée.
Je vous fais placer au-dessus elle, les genoux pliés légèrement, de sorte que votre chatte est non seulement toute ouverte mais bien accessible. C’est très chaud et…
Je sens à nouveau la tension monter, vos jambes tremblent, et vous voilà qui implorez ma clémence.
Mais je suis sourd à toute demande. C’est fort la soif.
J’observe avec satisfaction ce jus qui coule sur le dos de la candidate et cesse mon manège. Je me penche et vous bois au creux de ses reins.
C’est ce que l’on appelle un breuvage chaud.
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