fouiller, comme dans la soumise qui écrit à son Maître :
Vous ai-je déjà dit, Maître, à quel point j’aime être fouillée par vous, par vos doigts, par vos mots, par vos regards, par vos caresses et par vos gifles, par vos souffles, par votre présence, qu’elle soit proche, peau contre peau, ou virtuelle, mais néanmoins toujours là, par vos crachats sur mon visage ou votre pied sur ma nuque, par vos mains qui empoignent mes cheveux avec fermeté ou les savonnent tendrement, par vos chuchotements au creux de mon oreille et par vos sourires remplis de tant de promesses.
Je ne sais si je vous l’avais dit avant aujourd’hui. Mais j’espère avoir su vous le montrer, dans mon corps et dans mes yeux, dans mes sourires et dans mes soupirs, dans la cambrure de mes reins lorsque je m’offre à vous, dans la courbe de ma nuque lorsque vous en prenez possession, dans mes supplications et dans mes adorations.
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