Dans le contexte de l’affaire Max Mosley, ce dirigeant de la Formule 1 dont les ébats à saveur nazillarde font jaser dans les chaumières vendre du papier mâché et consommer de la bande passante sur Youtube, la blogueuse s’écrit : « Oy vey iz tsu mir! »
Bon d’accord, c’est un peu court. Plus loin, elle précise sa pensée :
« Coming from a world where « Master/Mistress/slave relations, » « dungeons, » « torture » and so on are commonplace — essentially playing with themes of medieval abominations and American pre-Civil War slavery – how exactly (and why) do you draw the line at Nazi fantasies? »
La pigiste, elle, dans son article de presse intitulé La soif de sexe des hommes de pouvoir, écrit :
« C’est bien connu, le sexe et la politique ne font pas bon ménage… du moins en public. Pourtant, les scandales sexuels impliquant des hommes haut placés sont de plus en plus fréquents. Trois cas célèbres ont défrayé la chronique ces dernières semaines. Le pouvoir est-il l’ami du vice? Actuel a interrogé un sexologue, un éthicien et une dominatrice. »
Qu’en dit le sexologue?
« Sexologue clinicien et expert en délinquance sexuelle, Mario Larivée-Côté constate que les jeux sadomaso sont une façon pour les hommes de pouvoir gérer leur stress et la pression. « Ce rôle de soumission leur donne un certain équilibre avec leur vie quotidienne. Mais c’est utiliser la sexualité de façon malsaine », croit-il. Il rappelle que les hommes, contrairement aux femmes, utilisent leur sexualité pour gérer et évacuer leurs émotions négatives. »
Celle-là, je la pogne pas. Passe que le « scientifique » considère le BDSM comme une activité malsaine, c’est un jugement encore répandu bien qu’il ne résiste pas à l’analyse. Mais les hommes utilisent leur sexualité pour gérer et évacuer leurs émotions négatives? Mais pas les femmes?
Que peut bien vouloir dire ce charabia sexiste?
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