Ma technique favorite pour rendre complètement cinglée mon esclave femelle est un mélange de taquinerie extrême et de chatouillements. J’appelle cette méthode la « punition des deux stimulations » et je l’emploie lorsqu’elle mérite d’être châtiée pour ses fautes.
La durée de la torture est proportionnelle à l’erreur commise, et plus sérieuse est la faute plus long est le tourment.
Vous devez savoir que ces punitions sont toujours publiques et que mes amis la contraignent souvent à commettre des erreurs en me poussant à lui donner des ordres contradictoires ou à lui fixer des buts impossibles. Ils font ainsi car ils adorent le spectacle de ma pauvre et fine esclave de 23 ans devenant folle, pleurant à chaudes larmes et suppliant pour que ça s’arrête.
On lui ordonne de se déshabiller totalement et de se coucher nue sur le sol en marbre. Elle doit lever ses jambes en les écartant le plus possible.
L’assistance la contemple, voit son sexe et son cul offerts. On lui ordonne alors de se masturber. On ne lui permet ni de s’arrêter ni de jouir, et cela la met dans une situation très gênante.
La véritable torture
La seule manière pour elle d’avoir droit à une pause lors de cette « humiliation publique » est de demander à mes amis et moi de lui chatouiller la plante des pieds, dans l’espoir que nous acceptions (ce qui n’est pas automatique). Si nous refusons, elle doit continuer de se masturber. Elle sait qu’elle ne peut opter pour une position plus confortable ou même légèrement resserrer ses jambes (quelquefois ses chevilles sont attachées, mais très rarement, car je sais que c’est bien plus douloureux pour elle de demeurer dans cette position épuisante en usant de sa propre force musculaire).
Généralement, nous refusons trois ou quatre fois avant d’accepter, pile lorsque nous comprenons qu’elle ne pourra se retenir plus longtemps.
La véritable torture commence au moment où nous chatouillons la plante de ses pieds (elle est terriblement chatouilleuse et le moindre effleurement de la peau de ses pieds lui est presque intolérable) cependant qu’elle DOIT rester immobile mais peut cesser sa frustrante masturbation. La chose importante, c’est que lorsque nous décidons de cesser de la chatouiller, elle DOIT immédiatement se remettre à se masturber. Ce qui la conduit à demander à nouveau (au bout du troisième tour, il s’agit plus d’une prière que d’une demande) quelque chose qu’elle ne peut avoir pour le moment (nous trouvons ça très amusant, et elle trouve ça très humiliant).
C’est une fille affreusement chatouilleuse, et tout ce qu’elle peut faire, c’est demander (mieux, implorer) pour que ses zones les plus sensibles (ses pieds) soient chatouillées afin d’éviter le plaisir d’un orgasme non autorisé. Elle sait que si elle jouit sans permission, elle subira des châtiments encore plus rigoureux.
Généralement, cette torture dure une bonne heure et lorsque nous lui permettons enfin de bouger et de cesser de se branler, elle est souvent si crevée qu’elle ne peut même plus tenir debout.
Ce n’est pas terminé…
Mais l’humiliation n’est pas terminée, car nous lui donnons la permission (ou plutôt l’ordre) de jouir – à quatre pattes. Tandis qu’elle s’efforce désespérément d’accélérer la branlette pour parvenir à l’orgasme, nous continuons à lui donner d’autres ordres qu’elle doit immédiatement exécuter et cela l’oblige à stopper sa masturbation (par exemple : « Apporte-nous quelque chose à boire », « Pousse le sofa à l’autre extrémité de la pièce »).
Or elle sait qu’elle n’a pas énormément de temps même si elle ne sait pas exactement quel délai lui a été imparti (cela la rend vraiment frénétique). Nous attendons toujours qu’elle soit très proche de l’orgasme pour lui dire que le temps imparti pour jouir librement est écoulé. Elle se met généralement à chialer de frustration, et pour être sûrs qu’elle ne pourra pas s’octroyer un plaisir non autorisé nous lui lions les mains, haut dans le dos, afin qu’elle ne puisse accéder à sa chatte.
Le truc pour rendre cette frustration finale plus douloureuse, c’est de la laisser jouir de temps en temps (très, très rarement), de manière à ce qu’elle ne perde pas espoir que cette fois soit LA BONNE, et qu’elle en soit par conséquent plus touchée encore. Il faut dire que les esclaves auxquelles on refuse l’orgasme sont bien plus amusantes si elles espèrent vraiment jouir – car leur frustration augmente encore et encore avec leur besoin désespéré de jouir.
L’espoir tire à sa fin
À la fin, lorsqu’elle sait qu’il n’y a plus d’espoir, nous la faisons mettre à genoux, nue, mains liées, devant une télévision. Nous passons un film érotique qu’elle doit regarder en entier et sommes assis autour d’elle, savourant le terrible désir qu’elle ne peut assouvir, et nous nous moquons d’elle (« C’est triste de ne pas pouvoir jouir, pas vrai? », « Quel dommage que tu aies été si lente! », « Pourquoi as-tu décidé de ne pas avoir d’orgasme, ma chérie? »).
Généralement, elle fond en larmes, se met à sangloter, car elle sait qu’elle n’a jamais le droit de jouir avant un certain temps – après une punition de cet ordre. Je dois ajouter qu’elle est très rarement autorisée à jouir et elle sait que la chance qu’elle a perdue ne se représentera pas avant des jours quand ce n’est pas des semaines.
Pour être exact, j’ai compté ses orgasmes (qui ont TOUS été publics et sont tous issus de la masturbation) depuis le début de cette année et il y en a eu 11.
Est-ce que ce ne serait pas trop? Qu’en pensez-vous?
Le texte « Enjoy her Frustration » provient de la plume d’un dénommé Federico d’une source web que je n’arrive pas à retracer. Le texte aurait été écrit en mai 2000. La traduction française est attribuée à Philippe Pissier sur le site Dressage du rien.
Joce écrit :
Etes-vous intéresse par le témoignage d’une soumise? Si oui, qui me lira?
Monsieur Valmont écrit :
Un témoignage de soumise m’intéresse toujours, selon ce qu’elle a à dire.