C’est un sentiment étrange la séparation dans une relation où la part BDSM et échange de pouvoir était au coeur de la relation du couple.
D’un côté, il y a ce besoin de la toucher, de sentir cette chaleur unique qui émanait de ces deux corps emmêlés, de goûter cette entente intellectuelle et animale allant au delà de la seule question sexuelle.
Et d’un autre côté, cette furieuse envie de lui faire manger des roches. Effet brut de la nouvelle distance.
thya écrit :
Pourriez-vous expliquer ce que vous entendez par: « cette furieuse envie de lui faire manger des roches. Effet brut de la nouvelle distance. » svp?
Valmont écrit :
Quand le couple bdsm forme également un couple dans la vie courante, la personne dominante en arrive avec le temps à tenir compte d’une multitude de détails dans l’exercice du pouvoir sur la personne soumise, ce qui n’est pas le cas lorsque les membres du couple bdsm ne vivent pas sous le même toit.
Les considérations liées à la sécurité et à la santé sont toujours de mise, mais les chicanes survenues entre les enfants dans l’après-midi, les démêlés avec un collègue de travail, les difficultés du poêle à bois… toutes ces micro-situations ne figurent pas dans l’équation. La personne dominante et la personne soumise peuvent alors se consacrer à l’essentiel de la relation de pouvoir.
L’accroissement et le maintien de la distance entre moi et la soumise avec laquelle je vivais depuis quelques années, accroit les vibrations qui secouent mon volcan intérieur. Ces vibrations me ramènent au temps où je pouvais concentrer mes énergies sur tous les moyens moraux et immoraux de faire plier et replier ladite soumise qui en redemandait.
Est-ce que cela vous éclaire, thya?
Valmont écrit :
Quand le couple bdsm forme également un couple dans la vie courante, la personne dominante en arrive avec le temps à tenir compte d’une multitude de détails dans l’exercice du pouvoir sur la personne soumise, ce qui n’est pas le cas lorsque les membres du couple bdsm ne vivent pas sous le même toit.
Les considérations liées à la sécurité et à la santé sont toujours de mise, mais les chicanes survenues entre les enfants dans l’après-midi, les démêlés avec un collègue de travail, les difficultés du poêle à bois… toutes ces micro-situations ne figurent pas dans l’équation. La personne dominante et la personne soumise peuvent alors se consacrer à l’essentiel de la relation de pouvoir.
L’accroissement et le maintien de la distance entre moi et la soumise avec laquelle je vivais depuis quelques années, accroit les vibrations qui secouent mon volcan intérieur. Ces vibrations me ramènent au temps où je pouvais concentrer mes énergies sur tous les moyens moraux et immoraux de faire plier et replier ladite soumise qui en redemandait.
Est-ce que cela vous éclaire, thya?
thya écrit :
Oui Maître Valmont. Merci pour votre réponse.