Je tombe sur ceci :
S/M and B/D are expressions of D/S for Estate purposes. D/S is the foundation, the structure on which training is built. It is not an excuse for B/D play, or S/M exchange. B/D and S/M may be entirely missing from a servant’s training, if the Trainer feels it is appropriate. BD/SM are tools with which to reinforce, reward, punish or correct trainee behavior not an end unto itself.
Dans une traduction à main levée, ça ressemble à ceci :
SM et BD sont ici au service de la DS. Car c’est la relation DS (la relation de domination-soumission), qui constitue la fondation, la structure sur laquelle s’élabore toute la mise en oeuvre. SM et BD peuvent être totalement absents de l’équation si le Maître pense que c’est ce qu’il faut faire. SM et BD ne sont que des outils avec lesquels on peut enseigner, renforcer, récompenser ou punir un comportement. Ce ne sont pas des fins en soi.
Je ne saurais mieux exprimer ma vision de l’échange de pouvoirs érotique.
La personne soumise peut très bien approfondir sa soumission et offrir des pouvoirs spécifiques à la personne dominante sans jeux de douleur ni jeux de restrictions et discipline.
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